Des ouvriers de Besançon et de Sochaux, formés au cinéma par une poignée de techniciens du cinéma et des cinéastes militants comme Chris Marker, Joris Ivens ou Jean-Luc Godard choisissent de s’associer librement sous le nom de groupes Medvedkine [1] et de consacrer du temps, de l’énergie, de la réflexion, à faire des films ensemble, à décrire les conditions de vie des ouvriers et leurs revendications.

L’intégralité de cet article est à lire sur le site de Paris-Luttes : Les groupes Medvedkine : quand le cinéma est militant.