Le « plan d’action égalité femmes-hommes » présenté par la ville de Tours à l'occasion du 8 mars 2021 oscille entre dérive sécuritaire et non-reconnaissance du caractère structurel des discriminations sur la base du genre.
Des intellectuel·les, des artistes et plusieurs collectifs féministes s'allient pour affirmer « leur peur et leur colère face à la course sécuritaire menée par le gouvernement », et réclamer la libération des militant·es arrêté·es le 8 décembre 2020.
Analyse des mécanismes en jeu lors des périodes de confinement et de couvre-feu, quant aux oppressions vécues par les personnes minorisées dans l'espace public.
Alors que le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin est annoncé au commissariat de Tours aux alentours de 16h, le collectif Actions féministes Tours appelle à un rassemblement. Sur Twitter et Instagram, le collectif a lancé l’appel (...)
Le recueil de textes de Clara Zetkin publié par les éditions Hors d'atteinte sous le titre « Je veux me battre partout où il y a de la vie » permet de replacer la journée internationale de lutte pour les droits des femmes dans le contexte des luttes économiques et politiques menées par les militantes socialistes du début du XXe siècle.
Un large collectif de syndicats, d'associations et de partis appelle à une grève féministe le 8 mars 2021, dans le cadre de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes.
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