Aucard de Tours, l’anarchie et le maître chien

Cette année, Aucard de Tours se déroulait sous le signe de l’anarchie : banderole « ni dieu ni maître » lors du défilé en centre ville, entrée du festival ornée d’un « A » cerclé, une banderole « mort au cash » à côté de la buvette... Apparemment, c’est le retour de la révolte.

Cette année, Aucard de Tours se déroulait sous le signe de l’anarchie : banderole « ni dieu ni maître » lors du défilé en centre ville, entrée du festival ornée d’un « A » cerclé, une banderole « mort au cash » à côté de la buvette... Apparemment, c’est le retour de la révolte.

Vu donc dans ce festival rebelle : un organisateur qui reproche à des membres de la librairie libertaire La Niche de ne pas bien avoir fermé l’arrière du barnum où ils tiennent un stand, de peur qu’ un resquilleur ne puisse y passer ; derrière ce même barnum, trois lycéens qui avaient certainement passé illégalement une barrière poursuivis par quatre vigiles et un chien. Deux ont eu l’air de courir assez vite. On espère que le troisième, rattrapé et obligé de se mettre à terre en attendant que les marmules et leur Rintintin retrouvent ses camarades, n’aura pas trop de soucis à se faire.

Soit je n’y comprends rien, soit l’anarchie c’est plus ce que c’était...

Maggie Zapata