
Mort au Testet, matraqués à Poitiers !
Face aux manifestations organisées en réaction de la mort de Rémi Fraisse au Testet, l’État a choisi la répression. Exemple à Poitiers, où les flics ont matraqué sans discernement.
Face aux manifestations organisées en réaction de la mort de Rémi Fraisse au Testet, l’État a choisi la répression. Exemple à Poitiers, où les flics ont matraqué sans discernement.
La lettre qui suit est adressée par Farid El Yamni, frère de Wissam - assassiné par la police le 1er janvier 2012 - à la mère de Rémi Fraisse. Il a voulu qu’elle soit rendue publique, mais elle sera également envoyée dès que possible à l’adresse des parents de Rémi Fraisse.
Dans un papier au titre évocateur "hommage, haine et combat", Info-Tours revient sur le rassemblement en hommage à Remi Fraisse. L'auteur, Olivier Collet, se pose en défenseur du pouvoir et des forces de l'ordre et oublie que dans pareilles circonstances il faut, a minima, savoir faire preuve de pudeur.
Cet article exprime un ressenti face aux tournures que prennent l'enquête sur la mort de Rémi Fraisse et la manière dont elle est médiatisée par les pouvoirs publics.
Récit en image du week-end de mobilisation au Testet pendant lequel Rémi Fraisse, un opposant au barrage âgé de 21 ans, a été tué par les gendarmes.
Dans la nuit du 25 au 26 octobre sur la ZAD du Testet, un camarade est mort au cours d'affrontements avec les gendarmes. Des rassemblements de soutien sont organisés. [Màj 30/10] A Tours, nouveau rassemblement prévu jeudi 30 à 18h place Jean Jaurès.
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