Interpelés par une première puis une seconde affiche dans le vieux Tours, nous avons arpenté le pavé à leur recherche pour en dénicher finalement une dizaine.
Quelques jours plus tard, environ cinq de ces affiches résistaient à l’arrachage et se remplissaient timidement d’inscriptions hétéroclites.
Les rues de la ville étant à cette période de l’année moins achalandées qu’à l’accoutumée, peut-être ces joyeux colleurs remettront-ils le couvert afin que leurs espaces de liberté puissent titiller d’avantage l’inventivité des badauds, dans un paysage, à l’accoutumé, vide de tout espace d’expression libre.