Nombres d’opérations dites de maintien de l’ordre s’accompagnent d’actes inhumains ou dégradants interdits par la loi. La responsabilité en incombe aux Etats. Ce sont eux qui décident des contrôles au faciès et de l’utilisation d’armes de dissuasion massive de manifester. En France, en sont fréquemment victimes les habitants des quartiers populaires et les opposants aux choix antisociaux du gouvernement. Avec les Gilets jaunes, la réalité sanglante a dépassé l’entendement. Pour un policier, refuser un ordre illégal est un devoir (art 122-4 du code pénal). En tant que citoyens, le nôtre est de briser la loi du silence.
Police, illégitime violence, France, 2018, 52’. Débat en présence de Marc Ball, réalisateur, et d’Aurélie Garand, du comité Justice et Vérité pour Angelo.
Jeudi 16 janvier à 20h, cinéma Studios, 2 rue des Ursulines, Tours.
Organisé par le CNP, l’ACAT, le Collectif Libérons Mumia, DNSI et la LDH.