Pour La Nouvelle République, le FN n’est pas d’extrême-droite (II)

Dans un article de l’édition locale de La Nouvelle République datée du 18 février, Olivier Pouvreau expliquait à ses lecteurs qu’il « n’osait plus baptiser » le Front National de parti d’extrême-droite. Apparemment, son analyse politique fait des émules au sein du journal, puisque les pages nationales de l’édition du 9 mars contenaient une autre perle de ce type.

Dans un article de l’édition locale de La Nouvelle République datée du 18 février, Olivier Pouvreau expliquait à ses lecteurs qu’il « n’osait plus baptiser » le Front National de parti d’extrême-droite.

Apparemment, son analyse politique fait des émules au sein du journal, puisque les pages nationales de l’édition du 9 mars contenaient une autre perle de ce type. Dans un article concernant les réactions aux propos de Valls sur le Front National, on pouvait lire :

« Panique concevable, nous sommes très haut », observe Florian Philippot, vice-président du FN. « Mais cela n’excuse pas le Premier ministre d’insulter nos candidats. Ils ont le tort d’être issus du peuple et Manuel Valls exprime ainsi un mépris de classe et du racisme social. » Pour le parti de la droite radicale, le chef du gouvernement, « par cette implication personnelle à la veille des départementales a pris un risque, mettant en jeu son poste et son avenir ».

A force de le répéter, ça finira bien par rentrer...

Illustration par Gueorgui Tcherednitchenko