Parce que rien de ce qu’ils nous font subir, ne reste sans conséquences.
Parce qu’ils ont beau s’acharner à effacer toutes traces de lutte, le vent de la révolte gronde.
Parce que chaque brèche et chaque faille du système sont pour nous, des moments de vérité.
Parce que nos révoltes et notre façon d’habiter le monde sont inextricablement liées les une aux autres, et qu’il nous suffit de faire croître celles-ci, pour ridiculiser et renverser le pouvoir.
Les bureaux d’EDF à Tours ont été barbouillés et tagués dans la nuit précédant l’expulsion de l’Amassada. Sur leurs belles devantures, on peut maintenant voir : « Même verte, votre énergie pue le fric ! », « Le vent de la révolte balayera vos projets d’aménagement du territoire », « Vive la commune de l’Amassada ! ».