Un compteur Linky démonté et ramené au conseil metropolitain de Grenoble

Linky nous concerne toutes et tous. Porte d’entrée vers la ville dite « intelligente » (smart city) et son monde de la connectique, espion connaissant tout de nos consommations, générateur d’ondes se rajoutant au brouillard électro-magnétique, cette saleté est posé partout en dépit des nombreux refus. A Grenoble, un habitant ayant fait toutes les démarches pour refuser et s’étant vu malgré tout imposé ce compteur a décidé de réagir, soutenu par un collectif grenoblois.

Ce vendredi 3 février 2017, le collectif Grenoble Anti-Linky et des habitants de la cuvette grenobloise ont interrompu le conseil de la Communauté d’agglomération (la Métro) pour rendre aux élus un compteur Linky.

Ce compteur avait été posé de force à un habitant de Pont-de-Claix en dépit de ses refus réitérés par lettre recommandée à Enedis, lors de réunions publiques organisées par la mairie, ou au siège régional d’Enedis où il s’était rendu avec le collectif Grenoble Anti-Linky.

Christophe Ferrari, maire de Pont-de-Claix et président de la Métro, l’avait assuré publiquement : « Les habitants ont le droit de refuser Linky ». C’est pourquoi ce matin nous lui avons rapporté le compteur imposé — celui-ci ayant été déposé avec toutes les précautions nécessaires. L’ancien compteur a pu être remis en service.

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