Cher François,
voilà une réponse ! C’est un scoop ! De stupéfiantes études ont démontré que la femme serait biologiquement assez proche de l’être humain, qui n’est pas toujours très gentil ! [1]
A quelques détails anatomiques près, (comme la zigounette à l’intérieur, ou des protubérances mammaires plus ou moins volumineuses), la femme serait presque aussi normale que nous, les gens normaux, (c’est à dire les hommes).
Et donc, tout comme l’homme, la femme serait ainsi capable du meilleur. Et aussi du pire ! Quoi que nous en ait dit le Maréchal, ce n’est pas parce que la femme peut pondre de très jolis petits bébés tout mignons, qu’elle est forcément bonne par nature. Pour faire simple et parler en langage NR, les femmes, (qui sont en fait très diverses), c’est un peu comme les Roms ou les Arabes : il y en a qui sont bien. Et d’autres pas du tout.

La femme elle est trop pas naturellement plus meilleure que l’homme
Dans Les Misérables, te souviens-tu des atrocités que l’affreuse Mère Thénardier fait subir à Cosette et Fantine ? Autre exemple, tu sais bien que la SS comptait dans ses rangs nombre de femmes tout aussi monstrueuses que les SS mâles. Rappelle-toi aussi cette grande avancée féministe des années 80, que fut l’épouvantable règne de Margareth Thatcher. En saccageant la société britannique par sa politique idiote, destructrice et inhumaine, « la Dame de Fer » démontra que la femme, (ici politique), est capable des mêmes saloperies que les hommes.
La femme est un homme comme les autres ! Reconnaitre aux femmes leur humaine capacité à l’inhumanité, sortir de l’angélisme et de la condescendance, c’est aussi faire acte de féminisme.
Pour finir, citons Renaud, un poète que j’aimais beaucoup du temps de son vivant. Passons la stupide chanson Miss Maggie. Réécoute plutôt Où c’est que j’ai mis mon flingue ? :
J’déclare pas avec Aragon, que l’poète a toujours raison.
La femme est l’avenir des cons, et l’homme est l’avenir de rien.
Jibédé.
Photo : au centre, Irma Grese, l’une des criminelles nazies les plus connues. Dite « The beautiful beast », ou« hyène de Belsen » à cause de son comportement particulièrement cruel et pervers à l’égard des prisonniers.