A Saint-Pierre-des-Corps, les bolchéviques censurent Jean Roucas

A l’extrême-droite, on pleure : le plus grand intellectuel du Front National, Jean Roucas, ne se produira pas dans la banlieue communiste de Tours. Une horrible atteinte à la liberté d’expression.

Quand une asso de Saint-Pierre-des-Corps a réalisé que « l’humoriste » Roucas était proche du FN [1], elle a décidé de le déprogrammer de sa soirée-cabaret prévue le 14 mars. Même si l’asso a nié que la mairie (communiste) soit intervenue dans sa décision, Roucas y a vu la main du Komintern :

Sur Boulevard Voltaire, un contributeur ne mâche pas ses mots : Roucas a été « abattu par des terroristes intellectuels ». D’après l’auteur :

« Madame Marie-France Beaufils, maire communiste de la ville, l’a froidement déprogrammé, le poing serré, en chantant l’Internationale ».

La France, ce goulag...

Notes

[1A ce sujet, lire par exemple cet article du journal Le Ravi http://www.leravi.org/spip.php?article1665.