Quand une asso de Saint-Pierre-des-Corps a réalisé que « l’humoriste » Roucas était proche du FN [1], elle a décidé de le déprogrammer de sa soirée-cabaret prévue le 14 mars. Même si l’asso a nié que la mairie (communiste) soit intervenue dans sa décision, Roucas y a vu la main du Komintern :
Est-ce qu'une voix de la bien pensance va s'élever pour me défendre,moi qui suis boycotté par mme Beaufils ? pic.twitter.com/tH8ikwAfAg
— Jean Roucas (@jean_roucas) 20 Janvier 2015
Sur Boulevard Voltaire, un contributeur ne mâche pas ses mots : Roucas a été « abattu par des terroristes intellectuels ». D’après l’auteur :
« Madame Marie-France Beaufils, maire communiste de la ville, l’a froidement déprogrammé, le poing serré, en chantant l’Internationale ».
La France, ce goulag...