Le 11 mars 2011 avait lieu une catastrophe nucléaire d’ampleur à Fukushima, au Japon. En France aussi, les accidents nucléaires sont très fréquents, dans les centrales, les sites de traitement des déchets ou lors du transports de ces mêmes déchets ou de produits radioactifs.
L’État produit un discours mensonger et cache le danger, les maladies et les incidents quotidiens qui touchent les travailleur-euse-s de cette industrie pour parfois s’étendre à toute la population.
Le nucléaire est une industrie patriarcale contre laquelle nous luttons. Elle est opaque, mafieuse et militaire. Ses opposant-e-s sont systématiquement réprimé-e-s, muselé-e-s et enfermé-e-s. Elle va main dans la main avec les politiques autoritaires et liberticides. Elle repose sur la Françafrique et le pillage de terres colonisées pour extraire les minerais nécessaires à son fonctionnement.
Le nucléaire est une énergie sale, coûteuse et dangereuse, qui exproprie et exploite.
Alors, pour le 11 mars, féministes et antinucléaires, on n’a pas oublié.
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