Liquidation de Presstalis : lettre ouverte à Laurent Garcia, fossoyeur de la presse
Le tribunal de commerce de Paris vient de prononcer la liquidation de la société SAD et des 512 travailleurs qui acheminaient la presse toutes les nuits.
Le tribunal de commerce de Paris vient de prononcer la liquidation de la société SAD et des 512 travailleurs qui acheminaient la presse toutes les nuits.
Le rapport de l'enquête sur le travail pendant l'épidémie, menée par l'Union des ingénieurs et cadres de la CGT, fait apparaître l'impact de la crise sanitaire sur les salarié-es, ainsi que les inégalités qui les frappent.
Pour le 1er mai, un collectif met à disposition une carte participative qui recense les luttes et colères au travail en temps de pandémie.
Alors que les commerces pourront rouvrir le 11 mai, les lieux culturels et les lieux de restauration resteront fermés, avec un risque accru de précarité pour les travailleur-euses de ces secteurs.
Le 11 mai s'approche, date virtuelle d'une rentrée des classes sous surveillance et dans des conditions flippantes. Les plans du gouvernement et de son conseil scientifiques pour endiguer l'épidémie sont aussi angoissants : ils préfigurent plus des sorties limitées au travail et surveillées à grand renfort d'informatique qu'une véritable libération. Mais avant le 11, concentrons-nous sur le 1er mai !
D’après une brève parue dans le journal Libération ce mardi 21 avril, « le distributeur de presse Presstalis s’est déclaré lundi en cessation de paiement auprès du tribunal de commerce de Paris ». Presstalis est en difficulté (...)
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