Mort d’Angelo Garand : deux membres du GIGN mis en examen
Près de six mois après la mort d'Angelo Garand, tué par des membres du GIGN venus l'interpeller à Seur (Loir-et-Cher), deux des gendarmes impliqués ont été mis en examen.
Près de six mois après la mort d'Angelo Garand, tué par des membres du GIGN venus l'interpeller à Seur (Loir-et-Cher), deux des gendarmes impliqués ont été mis en examen.
Le 30 mars dernier, Angelo Garand était tué par des hommes du GIGN venus l'interpeller au domicile familial parce qu'il n'était pas rentré de permission. Communiqué de la famille Garand et de ses soutiens.
Rassemblement « Justice et Vérité pour Angelo » à Tours en solidarité avec la famille Garand, mardi 30 mai à 18h, place Jean-Jaurès devant le Palais de Justice.
D'après le journal Libération, l'intervention du GIGN à Seur le 30 mars aurait pu être décidée dans le cadre de l'entrainement de cette unité d' « élite ».
Dans le contexte de la mort d'Angelo Garand, et pour interroger les discriminations vécues par les gens du voyage, nous avons échangé avec Nara Ritz, voyageur et membre du CNACI.
En réaction à la mort d'Angelo Garand, tué par les gendarmes le 30 mars, la famille et ses soutiens organisent un rassemblement à sa mémoire le samedi 22 avril, devant le tribunal de Blois.
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